Le samedi 7 Avril les jeunes UDF du Morbihan ont mené une opération de tractage sur Vannes, chef lieu du département, dont le maire est François GOULARD.
L’accueil était très chaleureux de la part d’une très grande partie des passants.
En plus du programme, les jeunes UDF 56 ont distribué des clémentines ainsi que des œufs en chocolat, week-end de Pâques oblige.
Et pour terminer l'après-midi nous nous sommes arrêté devant le magasin bien-nommé: ULTRA ORANGE
Un bon signe
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Le venue de Jean LASSALLE a
été un vrai plaisir pour tous les militants de notre circonscription.
Une visite au pas de charge,
mais avec une écoute et une réelle attention pour tous ses interlocuteurs.
J’avais déjà eu l’occasion de rencontrer Jean LASSALLE lors des universités d’été en 2006. En tant que responsable du pôle thématique agriculture, j’animais la table ronde sur ce sujet. Jean n’était pas à la tribune de cette table ronde, il était seulement présent dans la salle, en toute discrétion, ne tirant pas les couvertures à lui mais cherchant à faire avancer le débat, le débat d’idée mais pas d’idéologie.
Au travers de ses témoignages, nous avons reçu une vraie leçon de ce que doit être l’engagement au quotidien pour un homme politique.
Au-delà du symbole de sa grève de la faim en 2006, son action au quotidien symbolise les valeurs de l'UDF: au service de l'autre, rendre des compte à tous et en finir avec la lutte des places qui ne laisse plus lieu aux vrais débats.
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Vendredi 13 avril à Elven,
le collectif CRISLA organisait un débat citoyen avec les candidats aux législatives.
En tant que candidat
pour la 3°circonscription, j’ai donc participé à cette rencontre, tout comme
Monique DANION ( suppléante du candidat PS pour la 3°circonscription) et
Christian LE MOIGNE (candidat pour les
Verts dans la 1° circonscription).
Cette rencontre a portée sur
deux thèmes principaux :
« Pour une politique agricole et commerciale au service du développement »
« Pour une politique de la France en Afrique
responsable et transparente »
Un débat fort intéressant où
les personnes se sont écoutées où les intervenants ont pris le temps d’écouter
l’assemblée, voilà comment s’est déroulée la soirée.
A l’issue de cette rencontre
j’ai eu l’occasion de rencontrer les sympathisants de l’UDF qui étaient très
heureux de notre participation à cette rencontre. Ils ont bien insisté sur la nécessité
de savoir s’écouter et que bien sûr les bonnes idées ne sont pas uniquement
dans un seul camp.
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tstiDépêche AP jeudi 12 avril 2007, 21h30
François Bayrou, "candidat de l'égalité des chances"
MARSEILLE (AP) - Devant près de 5.000 personnes, François Bayrou s'est présenté jeudi soir à Marseille comme le candidat de la lutte contre toutes les fractures et de l'égalité des chances. Citant en exemple Marseille qui "a réussi à faire vivre ensemble tous ceux qui venus d'ailleurs ont constitué une communauté unique au visage divers", M. Bayrou a enfourché le cheval de bataille cher à Jacques Chirac lors de la présidentielle de 1995.
"Il y a douze ans", a-t-il estimé, "Jacques Chirac s'est fait élire, à juste titre, en analysant la fracture sociale. Aujourd'hui, les fractures s'ajoutent aux fractures". En présence d'Azouz Begag, François Bayrou a défendu une France de l'égalité des chances où tous les jeunes français "ont le sentiment que l'égalité et la fraternité sont aussi important que la liberté".
Le candidat UDF est revenu sur l'un de ses thèmes de campagne favoris, l'éducation, élément déterminant selon lui de l'égalité des chances: "Je veux", a-t-il martelé, "que tout le monde soit en sécurité à l'école. Je veux qu'on offre un parcours d'excellence, la chance d'arriver au plus haut quelque soit le quartier où l'on habite".Dans le même temps, François Bayrou a prononcé un vibrant hommage à l'ancien ministre délégué à la Promotion de l'égalité des chances qui était venu lui apporter son soutien.
Azouz Begag "est un homme intelligent qui a su mettre sa science au service de la République, c'est un homme bon et courageux et je suis sûr de l'avenir qui sera le sien dans la République".
A dix jours du premier tour de la présidentielle et alors que les sondages semblent indiquer un fléchissement de sa campagne, François Bayrou a de nouveau fait la promesse d'un gouvernement "d'hommes et de femmes d'expérience compétents, nouveaux qui regardent au-delà des clivages".
"On a besoin de valeurs de gauche, de valeurs de droite. Il y a des gens de sensibilité écologique, d'autres qui ne se situent nulle part sur l'échiquier politique (...) Nous avons besoin de toutes les forces pour redresser la France et sortir de 25 années de division et d'échec", a-t-il conclu. AP
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« Merci pour votre accueil. Les Basques et les Bretons, nous sommes comme des frères. » Le député UDF des Pyrénées-Atlantiques, Jean Lassalle, a passé une bonne partie de sa journée d'hier dans le Morbihan, à Noyal et Pontivy exactement.
Hier matin, une grève à Orly a retardé son arrivée dans le département. Résultat : la rencontre avec les représentants syndicaux agricoles prévue à Grandchamp a été annulée.
Après un déjeuner dans une crêperie à Rohan avec des représentants d'associations, le député a visité, au pas de course, l'entreprise de fabrication de plats cuisinés Houdebine à Noyal-Pontivy. Charlotte sur la tête et chaussons aux pieds, le député, sous la conduite de Michel Houdebine, a découvert les différentes lignes de production, salué les employés, écouté l'histoire de l'entreprise. L'entreprise qui a 27 ans d'existence, emploie 320 personnes, dont deux tiers de femmes. 300 tonnes de produits quittent l'entreprise chaque semaine.
« Je suis très impressionné. Il a une énergie considérable, il aime sa région et les autres, a souligné le député en parlant de Michel Houdebine. C'est quelqu'un qui a l'esprit d'entreprendre, on en manque en France et quand il y en a, on les embête un peu trop à mon goût... »
Un café-citoyen, organisé à l'hôtel Robic à Pontivy, a clôturé la journée. Le député a répondu aux diverses questions de la cinquantaine de personnes présentes. Invité par le groupe UDF du pays, le député est venu parce que le pays Basque et la Bretagne
Tatiana GUESDON.
Ouest-France
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Rétablir les services de santé, conserver un tissu d’exploitations agricoles, maintenir les services publics de proximité, assurer l’accès égal à internet : c'est contribuer à la qualité de la vie en France et garantir l’égalité des chances entre habitants des zones rurales et urbaines.
"On ne trouve plus de médecins en zone rurale alors qu'il y a plus de dix ans,
nombre d'entre eux ont été envoyés à la retraite d'office. Les médecins et infirmiers que je
rencontre se sentent au bout du rouleau …
Je propose quatre pistes de réponses : mieux gérer le "numerus clausus" des diplômés en
médecine, en l’augmentant, et surtout en établissant une gestion au niveau régional car les
besoins ne sont pas les mêmes partout ; favoriser la création de cabinets de groupes ;
développer la télémédecine ("boîtiers" d’appel médecins) pour mieux organiser les
gardes ; proposer des bourses aux étudiants en médecine, en échange d’une installation
dans un cabinet rural pendant un certain nombre d’années.
J’ai l'intention de résister à Bruxelles en matière de défense des services publics,
en matière de défense de la Poste. La Poste, c'est un peu de notre lien social de tous les
jours, particulièrement pour les plus fragiles. C'est vrai au Val Fourré où des concitoyens me
racontaient qu'il leur fallait six heures pour obtenir un mandat, et c'est vrai aussi
dans nos vallées pyrénéennes. Il y a des choses plus importantes que la théorie de la concurrence
en matière postale, par exemple, le sentiment d'une personne âgée qui a bien besoin parfois de
rencontrer le facteur.
L'accès à internet dans des conditions correctes - c'est-à-dire, aujourd'hui, à haut
débit - est une question d’égalité des chances, maintenant que les ressources
présentes sur internet deviennent essentielles pour les études, les démarches administratives, la
culture, l’information, les achats, pour organiser ses déplacements et pour de nombreux
autres actes de la vie quotidienne. Il faut valoriser la chance que représente internet pour tous
les Français, pour toutes les écoles primaires et tous les collèges …
Cela passe par des solutions techniques pour connecter en haut débit les villages les plus
isolés. La mission de l'État n'est pas de choisir entre ces solutions, mais d'assurer la
péréquation des ressources des territoires, pour compenser les inégalités de ressources.
Enfin, je sais combien
le travail des agriculteurs est indispensable au développement de nos campagnes, à
la sauvegarde de nos paysages comme à notre souveraineté alimentaire. La future PAC devra soutenir
les exploitations familiales, et permettre de maintenir un tissu dense d'agriculteurs.
Je pense aussi aux agriculteurs retraités et aux veuves, qui sont nombreux à vivre et à
survivre avec une pension de misère, souvent dans une grande solitude. Je prévois donc
l'augmentation des petites retraites pour que le minimum passe à 90% du SMIC."
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La première évaluation par l’INSEE des comptes nationaux 2006 de la France conforte l’analyse de François BAYROU sur la forte dégradation des Finances Publiques et sur la nécessité de faire de la lutte contre la dette une priorité absolue. L’évaluation de l’INSEE est de nature à démonter l’autosatisfaction gouvernementale en la matière.
1. les prélèvements obligatoires continuent de s’aggraver comme les deux années précédentes (2003 : 42,9% ; 2004 : 43,2% ; 2005 : 43,8% et 2006 : 44,4%). Il y a donc globalement une hausse continue des prélèvements obligatoires et non une baisse comme promis chaque année par le Gouvernement.
2. La baisse des déficits publics n’est pas due à une maîtrise des dépenses publiques mais à une hausse des prélèvements obligatoires :
• en 2006, la réduction des déficits publics de 3,0% en 2005 à 2,5% en 2006 soit d’un demi point de PIB est inférieur à la hausse de 0,6 point de PIB des prélèvements obligatoires.
• entre 2003 et 2006, la baisse de 1,6 points du PIB des déficits publics est, pour sa quasi-totalité, liée à la hausse des prélèvements obligatoires dont la hausse de 1,5 point des prélèvements obligatoires
• le niveau de la dépense publique en 2006 (53,5% du PIB) n’est qu’à peine inférieur à celui de 2005 (53,7%) et est toujours supérieur à celui de 2003 (53,3%).
3. Globalement la dette publique continue à s’accroître : 1 142 milliards à fin 2006 contre 1 137 milliards à fin 2005. La légère baisse de la dette de l’Etat (884 Milliards à fin 2006 contre 886 milliards à fin 2005),n’est pas due à une réduction forte du déficit de l’Etat, mais à 16,4 milliards de cessions d’actifs dont plus des trois quart concernant le bradage des Sociétés d’autoroute, et à 25,1 milliards d’opérations de trésorerie et à 1,4 milliards de reprise des actifs du Fonds de Garantie de l’Accession Sociale à la propriété ; en l’absence de ces opérations, la dette de l’Etat se serait accrue de 41 milliards d’Euros soit de +4,7% !
Dans son programme présidentiel, François Bayrou équilibre par 21 milliards d’économies, les 21 milliards d’euros de dépenses nouvelles nettes qu’il propose. C’est unique et salutaire dans cette campagne où les autres candidats multiplient les promesses intenables : plus de 60 milliards d’euros chacun de dépenses non financées.
Charles de COURSON
Député UDF de la Marne
Membre de l’équipe de campagne de François BAYROU
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Dans le quotidien Le Monde, Bernard Stasi prend position. Ancien ministre, membre fondateur du CDS, le Centre des démocrates sociaux, il occupa le poste prestigieux de Médiateur de la République de 1998 à 2004. Il est aujourd'hui membre du comité de parrainage de la Coordination française pour la Décennie de la culture de paix et de non-violence. Il publie aujourd'hui une tribune dans ce qotidien pour affirmer son soutien à la politique de rénovation engagée par François Bayrou. Il rappelle qu'en tant que "député-maire d'Epernay, [il s'est] efforcé, souvent avec succès, de faire travailler ensemble des élus de tout bord avec pour seul objectif l'intérêt général."
Ce combat est ma passion. Député maire d'Epernay, je me suis efforcé, souvent avec succès, de faire travailler ensemble des élus de tout bord avec pour seul objectif l'intérêt général. Président de région et député européen, je n'ai rien fait d'autre : il m'est toujours apparu comme une évidence que les problèmes les plus difficiles ne pouvaient être résolus que par la recherche obstinée d'un consensus.
C'est cette recherche de convergences entre sociaux-démocrates et sociaux-libéraux qui était d'ailleurs la raison d'être du Club Vauban, créé par Antoine Veil, et auquel j'ai apporté mes contributions pendant de nombreuses années.
Nous nous retrouvions, prétendument de droite ou de gauche, confrontant nos points de vue autour des grands thèmes économiques, sociaux ou politiques de notre pays. Là encore bien souvent, nous constations, parfois avec surprise, que beaucoup d'entre nous se rejoignaient dans une conviction commune, au-delà de la diversité de nos engagements politiques.
Seul aujourd'hui un candidat propose aux Français cette recherche d'une majorité de convictions, c'est François Bayrou.
Les Français ne sauraient accepter une démarche d'affrontement, une logique de rapport de force, à l'heure où, tous ensemble, les responsables politiques ont l'impérieux devoir de les réconcilier avec l'idée d'une France tolérante, attachée à sa diversité, et européenne.
C'est cette démarche de réconciliation nationale et cette quête de majorité de convictions qui donneront au nouveau président de la République toute sa légitimité.
Depuis Pierre Mendès France, avec Jean Lecanuet, Jacques Delors, Raymond Barre et Valéry Giscard d'Estaing, la France a toujours cherché celui qui incarnerait cette voie. Aujourd'hui, c'est François Bayrou."
Le Monde
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François Bayrou a dénoncé mercredi à Nîmes, la politique "laxiste" de la gauche et celle "répressive" de la droite dans les banlieues, estimant qu'elles étaient responsables "du drame" de ces quartiers.
Evoquant les affrontements qui ont opposé mardi soir les forces de l'ordre à des jeunes gare du Nord à Paris, il a affirmé, lors d'un meeting rassemblant 4.000 personnes à Nîmes, que "depuis 25 ans les uns et les autres ont laissé se dégrader la situation au point qu'il y a désespoir d'un côté et inquiétude de l'autre, impression d'échec d'un côté et insécurité de l'autre. Ce n'est plus acceptable pour un pays comme la France".
Pour le candidat UDF à la présidentielle, "la situation des banlieues est une situation française" dont les causes sont à rechercher dans "la manière dont on a urbanisé la France en enfermant les pauvres avec les pauvres, en créant des ghettos (...) C'est parce que nous avons accepté que l'on coupe la France entre ceux qui étaient favorisés et les défavorisés".
"Les conséquences ont des causes, c'est les causes qu'il faut soigner", a-t-il dit, affirmant: "C'est reconstruire, que nous voulons et c'est pour cela que nous sommes là".
Pour lui, "l'urgence" est de ne pas "laisser monter le climat de tension (né) de la politique laxiste du Parti socialiste qui a refusé de voir la situation réelle du pays et la politique de l'UMP, menée en particulier par Nicolas Sarkozy, et qui a reposé sur un choix, supprimer la police de proximité pour ne garder qu'une police de répression".
Il a précisé : "nous avons besoin des deux aspects, répression et prévention, la France a besoin d'une politique d'équilibre."
Lors d'une rencontre avec la presse avant le meeting, M. Bayrou avait dénoncé "l'héritage commun du PS et de l'UMP" sur la question des banlieues et appeler à "travailler ensemble" pour en sortir.
"On présente ces quartiers comme des coupe-gorge, comme des endroits où nul ne se sent en sécurité. Il y a immensément de vitalité dans ces quartiers, immensément d'amour de la France et de la République", a-t-il lancé.
Jugeant que "c'est la République qui fait la Nation et non pas la Nation la République", il a estimé "incroyable" de devoir "le rappeler, lui, à la gauche".
L'ancien ministre de l'Education nationale, a longuement évoqué ce domaine et promis, qu'une fois élu, "il rappellera à la Nation qu'il faut aider l'école et non en faire un bouc émissaire". Il a juré qu'il "arrêtera la chasse aux postes" et qu'il "en défendra les moyens".
M. Bayrou s'est penché sur la sécurité à l'école car "l'égalité des chances c'est la sérénité, le calme et la discipline dans les établissements scolaires".
Comme à la fin de chacun de ses meetings, M. Bayrou a entonné la Marseillaise accompagné des 4.000 sympathisants debout.
Dans l'après-midi, M. Bayrou avait commencé sa journée dans le Sud-Est par un bain de foule de plus de deux heure.
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